Fauchage du retour par Aras du Chemin de la Mâture N°43

Sous le Col d'Aras et plus bas que la bifurcation vers la Piste de Séberry, le Chemin de Beloute débouche dans des landes broussailleuses.

Fauchage soigné. le jour de la visite, l'orage s'écoule sur le chemin : de nombreuses saignées seraient à recreuser pour détourner l'eau qui a sérieusement raviné ce passage ;

ici d'autres cheminements s'offrent au randonneur,

visite du 5 août 2011.

Fauchage soigné et large à droite d'un vieux fût de hêtre coupé.

Plus bas encore (au-dessus de la grange Beloute), fauchage soigné et large dans une végétation épaissie.

Distinguer au centre la saignée formée par l'eau qui ronge le chemin et le rend souvent malaisé pour les randonneurs ; de nombreux revers d'eau anciens ravivés tout le long détourneraient cette érosion.

Fauchage soigné et large à l'approche d'un gros rocher juste au-dessus de la Proprièté Beloute.

Ensuite le chemin rentre dans le sous-bois avec quelques éclaircies ça et là.

Un lacet bien dégagé dans le sous-bois sous la Proprièté Beloute (éclaircie due à la pose récente d'une ligne EDF sur poteaux).

Dans le sous-bois juste avant un lacet de ce large chemin pavé par les anciens.

Le Chemin de Beloute était utilisé à la montée par les attelages de bœufs qui pouvaient gravir plus facilement la pente boueuse grâce aux pavés disposés en écailles de poisson inversées : une véritable crémaillère avant l'heure pour y caler ses sabots.

Ces attelages conduits par des bouviers basques se rendaient ensuite à pied d'œuvre de l'autre côté du Col d'Aras par un chemin aujourd'hui bouché pour tirer enfin les grumes du Bois du Pacq par le spectaculaire Chemin de la Mâture.

Plus bas dans le bois une zone de pavés parfaitement conservée.

Ce n'est malheuresement pas le cas partout, car l'érosion a souvent grignoté ces nombreuses calades et l'on découvre souvent à la place une ruine de blocs instables, formée des anciens pavés déchaussés, sur un sol argilo-humique parfois très glissant.

A la sortie du Bois de Beloute, toujours en descendant, fauchage soigné et large.

Remarquer à droite un sentier secondaire filant à plat vers une succession de franchissement de ruisseaux : le Chemin du Canton de Bieüs (pour les curieux).

Pratiquement rien à faucher ici sous le buis, mais un bel élagage architecturé attend les artistes du taille-haie...

Cascade sous le Gué du Ruisseau de Bouscagne, rien que pour se rincer les yeux.

Poursuite de la descente tout droit par un passage composé de larges dalles naturelles.

Fauchage soigné sur toute la largeur.

Laisser à main droite le Sentier de Bouscagne qui remonte dans la broussaille (bouché).

Le chemin aux larges dalles bien fauché.

Le chemin descend dans une fougeraie trés épaisse en conséquence des retards successifs dans l'ordonnancement du fauchage : total six semaines de retard par rapport aux prévisions initiales, la pluviométrie importante de juillet 2011 a aggravé la situation).

Toutefois un fauchage soigné et large.

Vu dans le sens de la montée, une idée de l'épaisseur et de la hauteur de la fougeraie,

avec pour se mettre un peu plus en condition, la météo pourrie lors de la visite en soirée du 5 août 2011.

Poursuite de la descente avec toujours un fauchage soigné et large.

Un ravinement important a creusé le fond du chemin au cours du temps.

Plus bas une zone de pavés est censé être protégée par des revers d'eau.

Ici, vue dans le sens de la montée, un revers d'eau bétonné qui mériterait d'être légerement rehaussé et surtout prolongé d'u bon mètre vers l'aval.

Avec un curage préventif régulier.

Le Chemin débouche enfin sur une piste (à 200 m de la Route de Séberry) : fauchage large et soigné.

Vu dans le sens de la montée, la jonction soignée avec la Piste de Lignette (barrière à droite).

L'intersection de la Piste de Lignette avec la Route de Séberry.

Poursuivre à droite sur l'image en contournant le panneau de signalétique pour rejoindre le Parking de la Mâture.

Le mât de ce panneau nécessite d'être consolidé.

Visite du 5 août 2011.