Fauchage du Chemin Bourdieu-Bilboquet n°1

Fauchage large et soigné dès le haut du Village d'Escot (visite du 04 août 2011).

Fauchage large sur un sol argileux gorgé d'eau

Traversée du Chemin de Houtet et jonction avec la suite du Chemin du Bugala signalé par un jalon.

Le Chemin du Bugala fauché large à l'approche du bois, bordé de buis.

Dans le bois de buis, peu de lumière et peu de végétation, mais des roches glissantes.

En haut du bois de buis un chablis en travers du chemin, n'entravant toutefois pas le passage.

Qelques branches pendent encore, sans géner le passage.

Fauchage dans lacet en sous-bois avec deux chablis ouverts et n'empèchant pas le passage.

Deux autres chablis tombés cette année gênent le passage avec leurs branches dans le lacet suivant.

Fauchage large et soigné dans une partie exposée à la lumière entre deux murs de broussaille.

Le Chemin du Bugala quitte bientôt le bois en croisant une ancienne piste.

Fauchage soigné, les repousses correspondent au décalage entre la visite et le fauchage datant d'une semaine.

Le fauchage soigné et large dans les nombreux lacets du Bugala. Au fond, en ligne de mire, le Mailh Arrouy, derrière lequel se cache le curieux rocher du Billboquet.

Fauchage soigné vers le sommet du Bugala.

De l'autre côté se profile le défilé d'Escot et son village dont ressort la blancheur de son église.

Fauchage soigné et large dans une fougèraie très épaisse à l'approche d'un petit col.

Le Chemin quitte l'épaisse fougeraie rongée par la broussaille pour gagner le bois, la densité de la végétation diminue ensuite avec l'ombrage.

La piste longe une plantation d'érables qui apporte de la fraîcheur, fauchage soigné du talus avec des broussailles descendant de la fougeraie située au-dessus.

Le Chemin se poursuit en crête dans un couloir percé de quelques ouvertures, le fauchage n'y rencontre plus beaucoup de végétation.

A la sortie du couloir de buis, une chicane propose au randonneur de quitter le chemin normal pour éviter les abords de la Maison Bourdieu. Un cheminement aménagé à flanc à droite permet de la contourner.

Dans le cheminement de contournement une barrière se referme automatiquement sur le passage du randonneur qui doit continuer à longer la clôture et remonter assez fort dans la pente jusqu'au chemin normal.

Une porte est ouverte pour rejoindre l'ancien chemin fauché raz avant de pénètrer dans un couloir de buis.

En haut du couloir de buis, une chicane  bien dégégée, à franchir au pied du chemin goudronné de Bourdalat.

La suite de l'itinéraire de randonnée signalé par un panneau fauché au pied. Il aurait été astucieux de faucher en ligne droite le passage pioché depuis le panneau pour rejoindre 20 m plus loin l'axe du chemin.

Fauchage large et soigné dans la Fougeraie du Haut du Bourdalat gagnée par les acacias.

Le sommet du Mailh Arrouy se rapproche.

De l'autre côté d'un ruisseau, le sentier fauché avec soin oscille entre ombre et lumière.

Le sentier s'élargit en piste après un gros chablis dégagé en 2009, s'infiltrer entre quelques orties au pied du chablis.

La suite se déroule à couvert par la Piste du Haut de Bourdalat, broutée à la belle saison par des vaches et des juments.

Quitter la piste par une sente taillée dans le talus. Une signalétique sera prochainement installée pour marquer ce passage.

La sente atteint un autre sentier en biais dans la pente (ce sentier a aussi été fauché vers le bas). Le randonneur doit au contraire monter en faisant un crochet à gauche. Un jalon de signalétique sera prochaînement installé.

Fauche soigné et large. Le sentier traverse une fougeraie épaisse et bifurque un peu plus loin vers la droite.

A la bifurcation un jalon de signalétique est prévu d'installer prochainement.

La suite du chemin fauché avec soin dans la fougeraie a son assiette un peu dégradée. Au fond en ligne de mire, le Pic Roumendarès.

Le sentier longe un pré en contre-bas bordée d'une haie poussée en hauteur. Fauchage soigné.

Un cerisier couché depuis l'an dernier qu'il est aisé d'enjamber en travers du passage.

Le sentier plonge ensuite dans la Fougeraie pour rejoindre l'abreuvoir de Serre Latte. Fauchage soigné.

La vielle Fontaine de Serre Latte à la jonction du chemin fauché avec soin (ouvert l'an dernier). Un panneau de signalétique sera prochainement installé pour marquer ce passage.

Dans l'autre direction, la bifurcation entre le chemin herbeux menant à la vue du Bilboquet et la descente en sous-bois du chemin du retour. Le panneau de signalétique méritera d'être dévissé du gros hêtre pour être fixé sur un poteau installé à la bifurcation.

L'accès au point d'observation du Biboquet bien fauché, un panneau à redresser prochainement. Revenir sur ses pas.

Plus bas dans la descente, les séquelles de Xynthia. Le fauchage se poursuit à la faveur des éclaircies.

Un chablis en bordure en biais dans les arbres en face, tenant encore par une partie de ses racines et ne gênant pas le passage du randonneur.

Un lacet fauché large dans la descente.

Un lacet plus bas regagnant une ancienne piste herbeuse

La suite du chemin fauché soigneusement à nouveau à travers une vieille fougeraie (au niveau d'une source).

Après une série de ruisseaux ombragés, le chemin s'élargit dans la fougeraie à découvert.

Le chemin fauché raz et large dans la fougeraie. En face le Sommet du Roumendarès.

Le chemin croise la route pastorale de Guiche. fauchage soigné en amont.

Le chemin herbeux oblique un peu plus bas à droite au niveau d'un jalon. Le fauchage du talus aurait pu être un peu plus soigné. Le chemin rentre au nouveau dans le bois.

Un gros chablis en travers du passage peut être enjambé sur le côté. La bille bien droite a de la valeur. avant de la tronçonner il serait utile de la proposer  en adjudication.

Le chemin bien fauché en sous-bois descend vers un ruisseau sans le franchir.

Après le ruisseau et une zone boueuse, le sentier rejoint la route du Bourdalat. Un ancien panneau indique l'Estive de Guiche.

Dans le sens de la descente un autre panneau plus récent indique le retour par le Vallon du Barescou. Fauchage dans une végétation raréfiée sous l'ombrage.

Le chemin retraverse deux fois un ruisseau, il est garnie de pierres moussues parfois bien glissantes.

Le chemin creux bien nettoyé finit au bord du Gîte des Cols.

Le chemin passe entre le ruisseau et le Gîte des Cols. Un panneau de signalétique est planté devant une barrière en fil barbelé que le randonneur doit ouvrir et refermer (visite du 04 août 2011).